28 décembre 2010

Le sentiment de gratitude pour ce qui est là est un des outils les plus puissants pour créer ce qui n’est pas encore là. Qu’est-ce que la gratitude ? C’est d’apprécier ce qui est. Tout ce qui est ici, en cet instant, vous l’appréciez pour sa valeur, vous lui donnez votre attention, vous lui faites honneur.

28 décembre 2010

Vous ne pouvez pas attendre la fin de vos problèmes pour être présent. Cela doit se faire où que vous soyez, et c’est maintenant.

17 décembre 2010

Si vous choisissez d’être présent maintenant pour la raison que vous ressentez profondément que c’est ce qui veut se réaliser à travers vous, alors il est moins probable que la vie ait à vous faire entrer de force dans la présence. Vous avez le choix d’entrer au paradis de votre plein gré, ou de vous y laisser traîner en criant «Non !».

25 novembre 2010

Certains font de grandes choses, d’autres font des choses moins considérables en apparence. Finalement, ce que vous faites est de peu d’importance. Mais c'est la façon dont vous le faites qui est capitale.

25 novembre 2010

Qui sait ce qui nous attend ? Je ne peux pas prédire l’avenir. Cela ne m’intéresse pas particulièrement. Le moment présent est suffisamment merveilleux.

11 novembre 2010

Les obstacles surgissent constamment. Si cela vous bouleverse, c’est que l’ego est de retour. Quand ils se présentent, si vous n’êtes pas contrarié et que vous êtes toujours présent, quel que soit l’obstacle, vous le regarderez d’un regard pénétré de présence, ce qui aussi une forme de paix. Quel que soit l’obstacle qui se dresse, vous le regardez, vous lui apportez cette paix pénétrante, et c’est comme une lumière qui l’éclaire et qui le dissout ou qui vous montre le chemin pour le contourner. C’est le pouvoir de la Conscience.

11 novembre 2010

La résistance intérieure à tout ce qui survient dans le moment présent vous ramène dans l’inconscience. La résistance intérieure peut prendre la forme d’une négativité, d’une plainte, d’une peur, d’une agression ou d’une colère. C’est important parce qu’à chaque fois que vous vous plaignez de ce que quelqu’un fait, vous êtes déjà en train de tomber dans le piège de l’inconscience.